Il faudrait que je ne pense pas à toi. Parce-que je suis une femme, et toi aussi. Parce-que tu ne penses pas à moi. Parce-que tu ne t'intéresses pas à moi. Les larmes me montent aux yeux, je ne sais pas quoi faire de ce que je ressens pour toi, ça me tue.
Mon cœur a accéléré lorsque tu t'es approchée de moi et que nous nous touchions. Tu m'as retournée la tête ma belle. C'est vraiment étrange. Heureusement que j'ai réussi à venir un peu vers toi aujourd'hui.
Ai-je le droit de seulement m'intéresser à toi ? Tu es incroyablement gentille, mais tu l'es avec tout le monde. Tu me dis que je peux appeler quand je peux, dès que j'ai un problème, mais tu parles de travail. Tu me raccompagnes jusqu'à l'ascenseur et je me ravis de ces quelques minutes passées seule avec toi. Si un jour tu dois lire ce blog, ne t'offusques de rien, mon intérêt pour toi est sincère, bien qu'inhabituel. Heureusement que je suis revenue sur le fait que tu voulais partir. Tu seras plus heureuse si tu pars, je serai malheureuse que tu t'en ailles. Je suis égoïste, je voudrais que tu restes.Ou garde-moi quelque-part dans ton téléphone si tu dois t'en aller...


Quoi qu'il se passe, ne pas te brusquer. Ne surtout pas vouloir aller plus vite que la musique. Enfin, je peux toujours le vouloir, mais sans passer à l'acte. Sans te dire que je veux de toi je veux dire. Sans te dire que je voudrais rester en contact avec toi, je veux dire. Parce-que si finalement tu ne pars pas, s je t'ai mise mal à l'aise et que tu me refiles à ton collègue, je te perds complètement...

Je t'ai vue si peu aujourd'hui. Mais tu étais toute belle. Comme d'habitude.
J'espère avoir réussi à te toucher un peu, à t'attendrir, susciter ton intéret. Un minimum. Tu me manques. Passe une bonne nuit...